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99 % de la population mondiale respire un air qui ne respecte pas les limites fixées par l’OMS, ce qui occasionne  sept millions de décès prématurés par an dans le monde. S’il est relativement facile de contrôler l’eau que nous buvons, contrôler l’air que l’on respire s’avère beaucoup plus complexe. 


Gaëlle Uzu, directrice de recherche IRD à l’IGE, est spécialiste de la qualité de l’air. Elle et son équipe ont notamment développé un nouvel indicateur, le potentiel oxydant, qui permet d’évaluer de manière plus précise, l’impact de la qualité de l’air sur notre santé... 


Un épisode produit par l’Observatoire des Sciences de l’Univers de Grenoble , réalisé, présenté, mis en musique et mixé par Pierre Jacquet. 


Crédit illustration : Cyril FRÉSILLON, CNRM, CNRS Images

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