Habiter sous la mer et vivre au contact de mystérieux poissons obsède les hommes depuis des décennies. En 2019, pour s’approcher de ce rêve, le biologiste et photographe sous-marin Laurent Ballesta combine plusieurs techniques de plongée pour pouvoir explorer sans limite de temps les profondeurs de la Méditerranée. Mais son ambition à un prix, celui de devoir rester confiné 28 jours avec trois compagnons dans un caisson de 5 m2. Cette expédition novatrice prend des airs de voyage dans l’espace, à la découverte des espèces à la porte des abysses…
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🎙 Un épisode réalisé par Thomas Firh, assisté par Nicolas Alberty. Le récit a été présenté par Clémence Hacquart, la musique est composée par Nicolas de Ferran et Michael Boga s'est occupé de la musique additionnelle. Chloé Wibaux, s'est assurée du montage et Antoine Martin du mixage. Merci à Sebastien Montaz-Rosset pour les photos et extraits de l'ascension et à Mathis Dumas pour la photo de couverture de l'épisode.
🤝 La saison 6 des Baladeurs est soutenue par Columbia.
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Plus de détails sur l'épisode :
Habiter sous la mer, s’installer au milieu des récifs coralliens et vivre au contact des poissons colorés pour découvrir leurs mystères obsède les hommes depuis des décennies. Mais Homo Acquaticus fait encore face à de trop nombreuses contraintes techniques…
Pour s’approcher de ce rêve, le biologiste et photographe sous-marin Laurent Ballesta a combiné les moyens de la plongée à saturation industrielle avec les techniques de plongée autonome en recycleur. En 2019, il s’est confiné pendant 28 jours avec trois compagnons chevronnés dans un caisson de 5 mètres carrés afin de pouvoir explorer sans limite de temps la zone des 100 mètres de profondeur, et révéler ainsi les trésors naturels des fonds méconnus de la Méditerranée.
Nom de code : Opération Gombessa. Une expédition novatrice aux airs de voyage dans l’espace pour repousser les limites de la plongée. 400 heures d’immersion entre -60 et -144 mètres à la découverte des barbiers commun, des morues cuivrées, de la reproduction des calamars veinés ou de la danse nuptiale des murènes. Mais aussi du froid glacial de ce monde crépusculaire, de la difficile cohabitation dans un espace minuscule où le bruit et la pression empêchent tout dialogue et des menaces qui planent sur le berceau de notre civilisation…
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