Dans ce 6e épisode on s'interesse aux tropismes musicaux.
Notre sujet du jour s'empare d'un terme avec une grande amplitude définitionnelle : c'est les tropismes tel que Nathalie Sarraute les a emprunté au monde scientifique pour les appliquer à l'analyse des ressentis humains.
Appliqué à la musique, cette notion de tropisme pose une question, celle de la création des genres. Comment est ce que les genres naissent-il ? Sont ils le fruit d'un certain déterminisme? Les musiciens et musiciennes sont-ils le produit de leur environnement ?
Aujourd'hui, on observe l'uniformisation des méthodes de production, qui sont pour la plus part numériques, et la globalisation culturelle qui tend à gommer les particuliarismes musicaux. 
La question que l'on va donc se poser aujourd'hui est : existe-t-il encore des tropismes musicaux à l'heure du global dancefloor ?
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans ce 6e épisode on s'interesse aux tropismes musicaux.
Notre sujet du jour s'empare d'un terme avec une grande amplitude définitionnelle : c'est les tropismes tel que Nathalie Sarraute les a emprunté au monde scientifique pour les appliquer à l'analyse des ressentis humains.
Appliqué à la musique, cette notion de tropisme pose une question, celle de la création des genres. Comment est ce que les genres naissent-il ? Sont ils le fruit d'un certain déterminisme? Les musiciens et musiciennes sont-ils le produit de leur environnement ?
Aujourd'hui, on observe l'uniformisation des méthodes de production, qui sont pour la plus part numériques, et la globalisation culturelle qui tend à gommer les particuliarismes musicaux. 
La question que l'on va donc se poser aujourd'hui est : existe-t-il encore des tropismes musicaux à l'heure du global dancefloor ? Hébergé par Ausha. Visitez <a href="https://ausha.co/politique-de-confidentialite">ausha.co/politique-de-confidentialite</a> pour plus d'informations.

Existe-t-il encore des tropismes musicaux à l'heure du global dancefloor ?

Une émission avec un nom en latin, parce qu’on aime bien faire les malins, mais une émission avec une ambition simple derrière un nom compliqué. Parler de musique, sous toutes ses formes, se poser des questions qui n’intéressent peut-être que nous, mais avec la prétention de se dire que vous aurez envie d’écouter... De l’impact de la musique médiévale sur la pop, à la question de l'aigu dans la musique japonaise, en passant par la question d’un underground du mainstream. Dans chaque épisode, nous explorerons un thème, et nous n'arrêterons d’en parler qu'après l'affreux constat d'avoir franchi la ligne de l’autosatisfaction intellectuelle. 
Une émission co-animée par Jean Morel et le musicien, producteur et arrangeur Sam Tiba, qui est le seul à rendre cette émission crédible.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Une émission avec un nom en latin, parce qu’on aime bien faire les malins, mais une émission avec une ambition simple derrière un nom compliqué. Parler de musique, sous toutes ses formes, se poser des questions qui n’intéressent peut-être que nous, mais avec la prétention de se dire que vous aurez envie d’écouter... De l’impact de la musique médiévale sur la pop, à la question de l'aigu dans la musique japonaise, en passant par la question d’un underground du mainstream. Dans chaque épisode, nous explorerons un thème, et nous n'arrêterons d’en parler qu'après l'affreux constat d'avoir franchi la ligne de l’autosatisfaction intellectuelle. 
Une émission co-animée par Jean Morel et le musicien, producteur et arrangeur Sam Tiba, qui est le seul à rendre cette émission crédible. Hébergé par Ausha. Visitez <a href="https://ausha.co/politique-de-confidentialite">ausha.co/politique-de-confidentialite</a> pour plus d'informations.