Réparer et redresser les inégalités et les injustices où qu’elles se manifestent.

Le monde syndical est né du combat pour la dignité, la solidarité et la justice. Au fil du temps, ce combat a pris différentes formes. Il a aussi connu des succès qui ont marqué profondément les réalités du travail. Ce sont les luttes contre le travail des enfants, pour l’amélioration des conditions salariales, pour la salubrité et la sécurité qui ont contribué à façonner nos législations. Aucun des acquis de ce que nous tenons aujourd’hui comme des standards décents n’auraient pu s’imposer sans l’engagement, la ténacité et la mobilisation des travailleurs et travailleuses. Les droits du travail doivent beaucoup aux pratiques syndicales d’hier. Les gens de demain vont devoir tout autant aux personnes d’aujourd’hui qui font l’effort d’inventer des réponses aux problèmes nouveaux qu’imposent les transformations du monde du travail.


  Dans cet épisode: Jean Gérin-Lajoie (Métallos), Jean-Guy Frenette (FTQ) et Lucien Gionest (Unifor) 
  Crédits: Productions Ferrisson et Unifor Québec pour l’utilisation d’extraits sonores de leurs archives.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Réparer et redresser les inégalités et les injustices où qu’elles se manifestent.
 
Le monde syndical est né du combat pour la dignité, la solidarité et la justice. Au fil du temps, ce combat a pris différentes formes. Il a aussi connu des succès qui ont marqué profondément les réalités du travail. Ce sont les luttes contre le travail des enfants, pour l’amélioration des conditions salariales, pour la salubrité et la sécurité qui ont contribué à façonner nos législations. Aucun des acquis de ce que nous tenons aujourd’hui comme des standards décents n’auraient pu s’imposer sans l’engagement, la ténacité et la mobilisation des travailleurs et travailleuses. Les droits du travail doivent beaucoup aux pratiques syndicales d’hier. Les gens de demain vont devoir tout autant aux personnes d’aujourd’hui qui font l’effort d’inventer des réponses aux problèmes nouveaux qu’imposent les transformations du monde du travail.
 
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 <li>Dans cet épisode: Jean Gérin-Lajoie (Métallos), Jean-Guy Frenette (FTQ) et Lucien Gionest (Unifor) </li>
 <li>Crédits: Productions Ferrisson et Unifor Québec pour l’utilisation d’extraits sonores de leurs archives.</li>
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Réparer et redresser

Cette série de cinq balados s’inscrit dans le prolongement des réflexions qu’ont menées les participants et participantes aux sessions de formation sur le développement socioéconomique local et régional réalisées sous les auspices de la FTQ et du Centre de formation économique du Fonds de solidarité FTQ.
 
Pour l’action syndicale centrée sur l’amélioration globale de la condition, des travailleurs et travailleuses et des communautés dans lesquelles ils et elles vivent, la notion de développement renvoie nécessairement à l’idée de bâtir. Le développement ne peut jamais s’arrêter parce que les ambitions, les espoirs et les besoins évoluent sans cesse.

Les définitions du développement économique sont nombreuses et l’étendue des préoccupations qu’elles regroupent varie également beaucoup. Selon les milieux, les époques et le contexte, le développement n’a pas du tout la même portée. 

Au fil des épisodes, nous allons explorer le résultat de cette réflexion collective qui a donné lieu à la formulation d’une définition en cinq temps de ce qu’il a été convenu d’appeler une définition du développement économique syndicalement acceptable.

Animation et recherche : Robert Laplante (directeur général de l’IRÉC) 
Réalisation et montage : Jean Alder Gaëtan ( Coop audiovisuelle GTS)
Production : Laurianne Beaulieu (Belvédère Coop)
Narration : Meggie Lagacé
Soutient à la production : Louis-Philippe Sauvé
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Cette série de cinq balados s’inscrit dans le prolongement des réflexions qu’ont menées les participants et participantes aux sessions de formation sur le développement socioéconomique local et régional réalisées sous les auspices de la FTQ et du Centre de formation économique du Fonds de solidarité FTQ.
 
Pour l’action syndicale centrée sur l’amélioration globale de la condition, des travailleurs et travailleuses et des communautés dans lesquelles ils et elles vivent, la notion de développement renvoie nécessairement à l’idée de bâtir. Le développement ne peut jamais s’arrêter parce que les ambitions, les espoirs et les besoins évoluent sans cesse.
 
Les définitions du développement économique sont nombreuses et l’étendue des préoccupations qu’elles regroupent varie également beaucoup. Selon les milieux, les époques et le contexte, le développement n’a pas du tout la même portée. 
 
Au fil des épisodes, nous allons explorer le résultat de cette réflexion collective qui a donné lieu à la formulation d’une définition en cinq temps de ce qu’il a été convenu d’appeler une définition du développement économique syndicalement acceptable.
 
Animation et recherche : Robert Laplante (directeur général de l’IRÉC) 
Réalisation et montage : Jean Alder Gaëtan ( Coop audiovisuelle GTS)
Production : Laurianne Beaulieu (Belvédère Coop)
Narration : Meggie Lagacé
Soutient à la production : Louis-Philippe Sauvé Hébergé par Ausha. Visitez <a href="https://ausha.co/politique-de-confidentialite">ausha.co/politique-de-confidentialite</a> pour plus d'informations.