
Depuis des mois, dans mes accompagnements, un mot revient avec l'obstination d'un écho : légèreté. Il surgit comme un antidote aux peines de celles et ceux qui se confie à moi : le manque de sens, l'épuisement, cette course infernale du toujours plus.
Mais à peine prononcé, ce mot déclenche une guerre interne : d'un côté l'appel de l'apesanteur, de l'autre le jugement moral qui nous ramène au "sérieux".
Dans cette capsule d'ouverture, je partage avec toi ce voyage au cœur de ce paradoxe : comment un seul mot peut-il nous soulager et nous condamner ? Pourquoi notre langue a-t-elle transformé la légèreté physique en futilité morale ? Et si notre épuisement n'était que la protestation de notre corps contre cette "lourdeur apprise" ?
🎯 Ce que tu vas découvrir :
Pourquoi la légèreté déclenche un conflit interne en nous
Comment l'épuisement peut devenir une boussole plutôt qu'un aveu de faiblesse
Les trois étapes du voyage collectif dans lequel je t’invite pour aller vers une résistance lucide
Une question inaugurale pour commencer à te délester
Question inaugurale : De quoi ton épuisement est-il la médaille ? Qui applaudit ta fatigue et qui serait dérangé par ton repos radical ?
🔗 Pour aller plus loin :
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Bibliographie
📚 Les écrits :
Lao Tseu ,Tao Te King
Friedrich Nietzsche, Généalogie de la morale (1887)
Romain Gary, Les Racines du ciel (Prix Goncourt 1956)
Milan Kundera, L'insoutenable légèreté de l'être (1984)
🎵 La musique :
Mylène Farmer, Désenchantée (1991)
Jean-Jacques Goldman, On ira (1997)
Ceci est l'épisode d'introduction du programme "21 jours pour défier l'épuisement". À partir de demain, une capsule quotidienne t’accompagne dans ce voyage vers la légèreté retrouvée.
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