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Et si la poésie était une ressource pour nouer un lien plus profond à la vie, pour apprivoiser le vertige de la finitude ?


Dans cet épisode, il est question de la complicité qui existait entre mon beau-père et moi. Je vous raconte comment la poésie a joué un rôle essentiel dans les derniers moments de notre relation, alors que la maladie l’emmenait vers l’autre rive.


Puis je vous lis la poésie lumineuse de Zéno Bianu qui a apaisé mon chagrin, qui a proposé un chemin d’ouverture en murmurant :


« Je crois à la vie à la mort,

à la grande amour donnée


Je crois qu’il faut mourir

puis vivre

mourir avant de mourir

pour ne plus aimer mourir »


Fermez les yeux ...

.... Écoutez cette poésie qui dialogue de façon solaire, avec l'infini


“La poésie ne s’enseigne pas, elle s’écoute, se vit et s’en va”. 

 
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Conception et lecture : Mathilde VERMER

Enregistrement et Montage : Mickaël GIUNTA

Design graphique : Adèle LAPARRA 

Accompagnement podcast : Collectif Pousse - Caroline FRANQUET


Photo : “Olympic Silhouettes” © Paolo PELLEGRIN / Magnum Photos, 2008


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