Myriam – ou Anaëlle, car elle se débat encore avec son prénom de France et son prénom du Maroc, s’est installée avec sa sœur dans le pays de son père, comme une évidence, il y a deux ans. Elle s’est ainsi rapprochée de racines qu’elle trouvait méconnues et méprisées en France, pour autant le quotidien de « repat » et d’entrepreneure n’est pas simple. Et surtout, le retour ne règle pas forcément la question de l’identité et du sentiment d’appartenance. Comment enfin s’intégrer et ne plus être la « gwer » ? Une histoire complexe racontée tout en douceur.
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