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Et si la pollution de l'air jouait un rôle important dans les allergies aux pollens ? C'est ce que vient démontrer Isabella Annesi-Maesano, directrice de recherche à l'Inserm et professeur d'épidémiologie environnementale, spécialiste des  maladies allergiques et respiratoires, dans ce nouvel épisode d'Inspirons !



🦠Nez qui coule, yeux qui picotent et qui larmoient, gorge irritée, difficultés à respirer… Comme chaque année, les allergies saisonnières aux pollens ont fait leur grand retour.
En avance, une fois de plus, sur le calendrier printanier dans de nombreuses régions de France, à l’image du sud-est, où la majorité des départements a été placée en risque élevé d’allergie dès le mois février.

La faute au réchauffement climatique, à ses hivers plus doux, à ses déficits pluviométriques, à ses migrations d’espèces végétales…

Mais aussi aux polluants atmosphériques - le dioxyde de carbone en tête, particulièrement favorable au bourgeonnement précoce-, dont la particularité est de rendre les allergènes polliniques plus féroces.  

Tant et si bien que de nombreux scientifiques et médecins ne parlent désormais plus d’allergies aux pollens, mais bien d’allergies aux "pollu-ens", soit l’acronyme des mots  "pollens" et "pollution".

Un terme qui renvoie tout autant à des manifestations plus intenses de conjonctivite, de rhinite ou d’asthme, qu’au nombre toujours plus important de personnes qui en souffrent.

Pour parler de ces "pollu-ens", notre journaliste, Frédérique Jacquemin, reçoit Isabella Annesi-Maesano, directrice de recherche à l'Inserm et professeur d'épidémiologie environnementale, spécialiste des  maladies allergiques et respiratoires dans une approche exposomique.


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