
Au XIXᵉ siècle, le vert devient la couleur du chic absolu. Robes, papiers peints, tentures, fleurs artificielles… tout le monde veut du vert éclatant. Mais ce vert parfait a un secret bien plus sombre : il est à base d’arsenic. Du « vert de Scheele » au « vert de Schweinfurt », ces pigments empoisonnent lentement couturières, ouvrières, et élégantes — jusqu’à la mort tragique de la jeune Mathilda Schörer, en 1861.
Entre science, superstition et scandale industriel, cet épisode d’Histoire du Pire plonge dans la mode toxique du XIXᵉ siècle, où l’élégance pouvait littéralement tuer.
PS: L'historienne de la mode, autrice de Fashion Victims est Alison Matthews David et non Davis, comme dit dans l'épisode, oupsie !
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