La crise sanitaire du Covid-19 a mis un coup de projecteur sur les enjeux de santé mentale. Pour autant, la méconnaissance, le manque d’investissement et la stigmatisation autour des troubles psychiques demeurent importants. Aujourd’hui, 1 personne sur 4 est confrontée au cours de sa vie à un trouble mental. C’est même la 4e cause de décès chez les jeunes âgés de 15 à 29 ans. Le taux de suicide chez les sujets âgés demeure quant à lui trop souvent passé sous silence, alors qu’il représente 30 % de l’ensemble des suicides.
Le constat est là : la santé mentale des Français est fragile. Elle l’est encore plus aujourd’hui, après la crise du Covid-19 qui a mis à rude épreuve les Français. Alors la parole s’est-elle vraiment libérée sur la santé mentale ? Nos politiques de prévention sont-elles suffisantes ? Comment faire du bien-être un véritable indicateur de la qualité de vie dans les villes ?
On vous propose pour en discuter 2 épisodes, le 1er avec Rachel Bocher, cheffe du service psychiatrie du CHU de Nantes, et le 2nd avec Grégory Doucet, maire de Lyon et co-président de la commission « Santé » de France urbaine, et Ziad Kodhr, conseiller municipale à Arras, médecin-urgentiste et vice-président délégué de la Fédération hospitalière de France Nord-pas-de-Calais.
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