Dans ses pièces, la chorégraphe Myriam Gourfink n’a qu’une ligne de conduite, qui prend différentes formes. Elle explore les contractions possibles du corps face à la pression de l’air qui l’entoure. Nous avions très envie de prendre le temps de l’écouter et d’échanger avec elle sur son écriture très spécifique et rigoureusement unique, où la lenteur devient un axe de mouvement et de beauté.
Cette saison, elle a été remarquée pour Rêche, sa pièce présentée au Panthéon, et elle présentera Arche à la Ménagerie de Verre les 6, 7 et 8 mars.
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