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Devant un motet du 16è siècle, il arrive qu’on s’en tienne à chanter ou jouer ce qui est écrit sur la partition. Comme si, à l’époque, la partition prétendait tout contenir. C’est donc contre l’habitude de chanter tout ce qui est écrit sur la partition et surtout rien que ce qui est écrit, que le cornettiste William Dongois s’est intéressé aux « diminutions ». Ce que les anglais préfèrent appeler les « divisions » : quand, dans le temps d’une valeur longue, on remplace la tenue de la note par une formule de 4, 5, 8 ou 10 notes.


Pour détailler jusqu’où ce projet de recherche peut mener l’interprétation, c’est dans les coulisses – et avec l’hospitalité – du festival Musiques en haut que nous enregistrons ce numéro de « Contre-Sujet », en mettant la cornettiste Liselotte Emery et l’organiste Olivier Camelin qui ont donné des prolongations à ses recherches, en dialogue avec William Dongois.


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    Contre-Sujet