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Dans la plupart de mes accompagnements, mes clients me disent qu’ils sont perdus, dans le brouillard, ou encore qu’ils n’y voient plus clair.

 

Ils ont fait différents constats et tirent des conclusions ou pas de ces constats. Parfois, les conclusions qu’ils tirent semblent s’opposer. 

Par exemple : 

  • J’ai besoin de liberté, je voudrais travailler pour moi et en même temps, j’ai besoin d’interactions et de collectif. 
  • Ou encore :  je veux un métier qui a du sens, qui me permet d’aider et en même temps ;j’ai besoin de garder le salaire que j’ai aujourd’hui. 

 

Ils peuvent également avoir envie de tout changer et envie de ne rien changer d’une seconde à l’autre. 

Ils se demandent si ce n’est pas à eux de changer de perception sur leur métier pour que ça aille mieux. Ce type de constat émerge souvent en se comparant. Ils se disent alors qu'ils se plaignent d’aise  : « je ne travaille pas à la mine quand même ! ». Et cela s'accompagne bien souvent de l'émotion de culpabilité voire de honte. 

 

Et en plus, on va souvent rajouter une surcouche de jugement là-dessus : 

  • "Je devrais savoir !" ; 
  • " C’est quand même pas possible de ne pas avoir de projet ! " ; 
  • " je n'ai jamais vraiment eu de projet, j'ai suivi le mouvement" ;
  •  "Je n’ai pas de passion, ce serait tellement mieux si j’avais une passion ! 

Alors, que faire ? 


Souvent, nous avons tendance à faire des raccourcis ; et ces raccourcis, on les fait sans s'en apercevoir du fait de nos croyances.


A quoi cela ressemble-t-il ? 

  • "Je ne peux pas être indépendant et collaborer";
  • "Je ne peux pas être entrepreneur et travailler 35H/SEM" ;
  • "Je ne peux pas être à mon compte et en sécurité financière". 

C’est mon rôle de consultante de soulever ces croyances pour aider mon client à remettre de l’ordre dans ces différents constats. 

 

Mais surtout, ce que je vous suggère, c'est de regarder ce vide autrement : 

Aujourd’hui, j’ai un tout autre regard sur le vide ; (attention, pas toujours). Ce que je veux dire c’est que je ne sais pas ce que je ferai dans 3 ans. Je sais en revanche que ce sera différent d’aujourd’hui. 

Probablement pas complètement différent mais il y aura des évolutions et j’en suis ravie .

 

Pourquoi ? 

 

Parce que je suis ravie de me dire que je vais pouvoir dessiner mon avenir au fil du temps. Cette capacité à lâcher prise ; à ne pas charcher à tout maitriser, je l’ai acquise grâce à ma première reconversion mais aussi grâce à mon expérience de l’entreprenariat dans laquelle je dois constamment m'adapter. 

Aujourd’hui, je sais que je sais le faire et que je pourrai le refaire. Cela me permet d’être plus sereine voire excitée à l’idée que les choses changent. 

 

Alors, je vous propose de voir cette page blanche comme l'opportunité d'écrire votre futur comme vous le rêvez ! 

    C-en-Vous