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Certaines consommations naissent de l’interaction de facteurs à la fois personnels et environnementaux, qui rendent l’adolescent en pleine construction plus vulnérable, d’autant que son cerveau, avant l’âge de 25 ans, n’a pas encore terminé son développement.

Dans le cadre de la prévention, informer les jeunes sur les produits psychoactifs, en particulier alcool, tabac et cannabis ne suffit pas toujours à prévenir les consommations, voire à diminuer les consommations installées. Des études nationales et internationales ont montré que parmi les facteurs de prévention les plus efficaces, le développement des compétences psychosociales (CPS, Soft-skills, etc.) accompagne l’adolescent pour faire face à la curiosité, à la pression du groupe ou à l’envie d’essayer pour compenser son mal-être. 

Les démarches en milieu scolaire, axées sur l'amélioration du bien-être et du climat scolaire sont efficaces pour prévenir la consommation problématique de substances et les méfaits qui y sont associés. 

  • Comment dans ce contexte peut-on agir à l’échelle des établissements scolaires ? 
  • Quelle stratégie construire avec l’ensemble de la communauté éducative et l’appui des parents ? 
  • Sur quels partenaires s’appuyer pour bénéficier d’un accompagnement ou de formations sérieuses et efficaces ? 


Intervenants : 

  • Christophe Marsollier, IGÉSR 
  •  Nicolas Prisse, président de la MILDECA (Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives)  
  •  Béatrice Lamboy, conseillère scientifique en prévention et pilote du projet CPS (compétences psychosociales), Santé Publique France  
  •  Fouley Koïta, principale adjointe du collège intercommunal Miriam Makeba à Aubervilliers, Saint-Denis